Le restaurant

Le Saint-Honoré…

Le Saint-Honoré, restaurant à Véretz

Le Saint-Honoré, traiteur à Véretz, met toute son expérience de 22 ans à votre disposition pour l’organisation de vos réceptions festives et repas d’affaire. Notre équipe de professionnels se déplace dans tout le département 37 pour vous proposer des idées inédites et originales afin de ravir vos invités, avec un service raffiné et d’une qualité impeccable. Grâce à l’authenticité de nos mets, la discrétion, le professionnalisme de nos maîtres d’hôtel et à l’imagination de nos décorations, vos réceptions ne ressembleront à aucune autre. La disponibilité, la réactivité, la confiance et la convivialité d’une structure familiale, accompagnées d’une expertise et d’un professionnalisme reconnus : voilà la recette du succès de vos événements !

Quelques lieux de réception

Les granges de Porcherieux
Prieuré de Lavaray
Château de Cangé
Moulin d’Abbas
Château de la Herserie
Château de Véretz
Château de Nitray
Château de Longue Plaine
Château de Vaugrignon
Salon de la Raynière

… et son histoire

Tel que vous me voyez aujourd’hui, vous qui venez de prendre place dans ma grande salle d’azur et d’or, j’ai bien changé depuis l’époque à laquelle les anciens du village font remonter ma naissance. Que de murmures, de rires, de fracas et de bruit mes oreilles en tuffeaux ont entendu !

Toute histoire commençant par « Il était une fois », plions-nous à ce charmant usage pour vous conter qu’il était une fois, au début du XIXème siècle, la Gironde, petit ruisseau venant de l’ouest du parc du château de Véretz, longeait le coteau et venait se jeter dans le Cher. La Gironde fut recouverte vers 1850 et c’est alors que, dit-on, en 1875, mes murs massifs et ma façade ivoire furent élevés, au-dessus de l’ancien ruisseau (qui coule toujours, aujourd’hui encore, sous mes fondations), en bordure du Cher.

Je fus d’abord une boulangerie-café tenue par Honoré et Charlotte DENIAU qui me transmirent, en 1897, à leur gendre, Adolphe FILOCHE. En 1903, je fus acheté par Alfred DELABARRE, puis repris par son ouvrier, Louis CHEVEAU qui me conserva jusqu’en 1915.

A cette date, la boulangerie fut transférée de l’autre côté de la place et je divins une auberge que le premier propriétaire, Charles BRIQUET, baptisa en souvenir de l’ancienne boulangerie, du nom du saint patron des boulangers : Le Saint-Honoré. Sachez que c’est à Charles Briquet que l’on doit l’organisation du banquet commémorant le centenaire de la mort de Paul-Louis Courier, en 1925 !